Bonjour !
Voici des repas dégustés lors d’une semaine de vacances entre amis puis une semainechez la famille. Autrement dit, en cohabitation avec des non végé, ce qui suppose la consommation occasionnelle de produits animaux : beurre dans les crêpes/galettes du resto, tajine de légumes dans lequel a aussi cuit de la viande, mais aussi de nombreux repas 100 % végétaux appréciés par les amis, voire cuisinés par eux !
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Galette tomate oignon patates
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Gnocchi maison
Recette ici. Un de nos plats préférés à préparer entre copains en papotant.
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Pâtes en sauce et courgettes du jardin
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Risotto simplissime et piperade
Une association simple et savoureuse préparée par des amis : un risotto parfumé avec des oignons, du bouillon de légumes, servi avec une piperade à base de tomates et de poivrons rouges rôtis et épluchés.
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« Korean pancakes »
Une recette d’une amie d’origine coréenne : « Couper des légumes (courgette, aubergine, oignon) en bâtonnets très fins. Mettre les légumes coupés fin dans un grand plat, verser quelques cuillères de farine et ajouter assez d’eau pour qu’en remuant tout ait pris, avec une épaisseur entre celle d’une pâte à pain et d’une pâte à crêpe. Mettre un fond d’huile dans une poêle puis verser assez de mélange pour recouvrir la poêle sur un demi centimètre d’épaisseur. Et là, le secret c’est la patience, ça met longtemps à cuire, de chaque côté, je dirais 5 à 7 minutes de chaque côté. Servir avec un peu de sa sauce soja préférée. »
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Taboulé et falafels
Le taboulé de Maman surmonté de falafels du commerce, dégustés dans le train.
Le coca n’était pas pour moi, qui n’aime ni le goût des boissons gazeuses ni celui de l’alcool. En témoigne ma version du mojito : un jus de pomme agrémenté de citron, de menthe pilée et de glaçons.
Pendant ce séjour entre amis, je me suis occupée des sucreries. Au menu : fondant au chocolat avec une crème fouettée de noix de coco, mini macarons, flan pâtissier, gâteau douceur à la noix de coco et mousse au chocolat (avec liquide de pois chiche) :
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Pizzas
A gauche, pizza version coeurs d’artichaut à l’huile & champignons frais. A droite, version aubergines frites, tomates cerise, champignons & courgette râpée.
Et comme je suis connue pour manger salé à tout moment de la journée, voici le plateau qui m’a été apporté en guise de petit déjeuner d’anniversaire : nectar d’abricot, reste de soupe de pêche au coulis de framboise, reste de mini financier, reste de pizza. Miam !
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Plats – cadeaux d’anniversaire
Wok de légumes préparé par mon beau-père, d’après une recette qu’il a trouvée sur le site Marmiton
Légumes rôtis (pomme de terre, carotte, oignon, ail) préparé par mon beau-père et Doudou, tortilla préparée par ma belle-mère d’après le livre « Mon premier dîner végétalien » offert par un de mes frères comme cadeau d’anniversaire.
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Repas d’anniversaire
Curry préparé par Doudou, d’après la recette de de Vegan de Marie Laforêt, en remplaçant les poivrons verts par des courgettes et en utilisant du curry en poudre.
Mon fraisier, qui comme d’habitude a bien plu. Les chiffres sont en noix de coco râpée, déposée quand le coulis a commencé à solidifier.
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Côté Béluga, les grands parents lui cuisinent des plats vegan mais lui proposent aussi du poulet et des oeufs à la coque. Évidemment, ça ne me fait pas du tout plaisir de le voir manger ça, mais ça permet des vacances en famille dans un climat de paix, et je me dis que d’une part ça nous habitue à l’année prochaine (cantine le midi pour lui à la maternelle, pour laquelle je n’ai pas officiellement demandé mieux que des repas sans porc – par contre j’ai signé avec enthousiasme la pétition du député Yves Jégo ! et vous ?).
Je me dis que d’autre part, comme ses parents, ça lui permettra de choisir son alimentation en connaissance de cause, y compris sur le plan gustatif. Et surtout, pour la cantine scolaire, je me dis que ça ne durera qu’une année, pendant laquelle ça me permettra de continuer à travailler comme avant, et donc de donner régulièrement de l’argent et du travail bénévole aux associations qui agissent pour le bien être animal.
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Bon dimanche !
Végébon 
ah oui, déjà l’école, ça passe vite dis donc!
Pas facile de gerer l’alimentation dans une famille qui tient absolument à faire manger des trucs aux petits..question pratique, le beluga qui n’a pas une flore adaptée à la viande arrive à bien digérer ça??
Et puis, ça m’a permis de savoir que je faisait des crêpes coréennes de manière spontanée…même que je les fais souvent à la farine de pois chiches!
Ahh la famille… bravo pour ta patience ! Ca n’est pas facile d’élever un enfant vegan dans un monde non vegan… on croise les doigts pour que les cantines se mettent au VG rapidement ! Et… joyeux anniversaire 🙂
Je pourrais pas supporter que mon gosse mange de la viande, je ne sais pas comment tu fais !
Merci d’avoir relayé cette pétition, je suis contente de l’avoir signée et j’espère surtout qu’elle aura un effet et qu’une loi dans ce sens sera votée et appliquée.
Sinon, moi je pense que tu as raison de laisser ton enfant manger ce que lui donnent ses grands-parents (et que toi tu ne lui donnerais pas) : ce n’est pas facile, bien sûr, mais il faut savoir lâcher prise parfois, la paix familiale en vaut la peine et en plus ta famille semble quand même faire des efforts pour vous cuisiner des plats végétaliens. Dis-toi que ton fils mange essentiellement comme toi, et que ce n’est pas un drame s’il mange occasionnellement des produits d’origine animale quand il est ailleurs, dans la famille ou, plus tard, quand il ira manger chez des amis par exemple.
Personnellement, je ne trouve pas spécialement sain que les parents désirent contrôler tout ce que mange leur enfant, c’est un peu comme vouloir contrôler ses relations ou ses activités finalement. Quand il sera un peu plus grand, tu pourras lui expliquer pourquoi toi tu ne manges pas de produits animaux, et il sera capable de faire son propre choix en connaissance de cause. Bien sûr, on espère toujours que nos enfants vont nous suivre dans nos choix de vie, dans nos goûts et nos opinions. Ce n’est pas toujours le cas et l’accepter fait partie de la parentalité.
En même temps le plus souvent on impose sa religion à son enfant.