Archive | décembre, 2016

Menu de Noël imaginaire

22 Déc

Bonjour !

Je viens vous prévenir que ce dimanche vous n’aurez pas de recette de cuisine. L’esprit de Noël aura eu peu de prise sur moi cette année, donc si je viens vous parler dimanche (et ce n’est déjà pas sûr), ce ne sera pas du menu de Noël mais de ce qui m’a occupée ces derniers temps : le Pinto, dont je profite au maximum car il grandit à vue d’oeil.

20161225-11

Après tout vous êtes probablement en train de préparer un beau repas ou vous en avez marre que tout le monde y pense, donc pas besoin d’en ajouter ? Si ? Alors si j’avais eu la possibilité de cuisiner un repas de Noël, voici ce que j’aurais aimé faire :

  • Pour l’apéro, des gourmandises pleines de fraîcheur pour contrebalancer les chips et mélanges de noix incontournables ici : les petits toasts de carotte marinée façon saumon gravlax, de Marie Laforêt dans Noël vegan, testés et approuvés l’an dernier et des mini verrines crème d’avocat/suprême de pamplemousse comme il y a 3 ans ;
  • Pour l’entrée, un pâté de pois chiche en croûte et une salade de mâche agrémentée de petites choses comme de la grenade – et des noix caramélisées à moins que je ne mette des noisettes dans le pâté ;
  • En plat, des éléments préparés à l’avance pour n’avoir plus qu’à les réchauffer et les répartir dans les assiettes : des paupiettes (je n’oserais pas la fausse dinde avec des omnivores) avec des pommes de terre sautées (oui c’est Noël donc on mange ce qu’on aime et ici on aime les pommes de terre sautées, alors zut aux omniprésentes pommes de terre hasselback, je les testerai quand la mode sera passée !) et une garniture au chou Romanesco ; ou alors les patates douces farcies de Marie Laforêt toujours dans Noël vegan ;
  • Avec les boissons chaudes, je serais tentée de réaliser les chocolats fourrés à la crème de speculoos de Marie Laforêt dans Joyeux Noël vegan ! même si par facilité j’achèterais sans doute plutôt des Espérantine : les Robe noire sont des chocolats noirs fourrés à une ganache classique… à ceci près que la crème est remplacée par de l’huile d’olive ! Les Classiques ont un fourrage délicieusement original et végane mais la coque est en chocolat blanc (si on continue à le leur demander, ils finiront peut être par faire des Robe noire avec le fourrage des Classiques ?).

J’aurais aimé avoir le temps de collecter et relayer des recettes parmi toutes celles qui ont été partagées sur la blogosphère ces dernières semaines. Mais j’arrive à peine à écrire le « bon pour X bisous » de chaque tiroir du calendrier de l’avent (choisi exprès pré-rempli avec une mini décoration en bois à accrocher dans le sapin du calendrier, histoire de se faciliter le remplissage et de réutiliser cette astuce chaque année – je vous en avait parlé ici).

Bon courage pour la dernière ligne droite avant les fêtes, et si possible joyeux Noël pour tou-te-s !

Repas végétariens de début décembre

18 Déc

Bonjour !

Voici nos repas du moment, avec des classiques d’hiver (lasagnes à la courge, tarte au poireau, aloo palak), une bonne dose de graines de sésame (je me rends compte en assemblant cet article que j’en mets partout) et nos plans « SOS repas » (que manger quand il est vraiment l’heure du diner et qu’on n’a rien préparé ?). Ne vous attendez pas à des repas miraculeux, ce sont nos solutions de dépannage actuelles.

.

Lasagnes à la courge

20161218-1

Une recette désormais classique chez mes beaux parents, avec de la courge, des cerneaux de noix, des cèpes séchés et de la crème de soja pour lier le tout. Je salive en y repensant !

.

Tarte au poireau

20161218-2

Des poireaux finement émincés et fondus à l’étouffée avec un peu d’huile et un peu d’eau si besoin, une sorte de béchamel préparée en ajoutant par-dessus (oui, directement dans la même casserole, en mode feignasse) de la faine, de la purée de noix de cajou, du sel, de la muscade et de l’eau. Un peu de levure de bière pour la nutrition. Je verse le tout sur une pâte (la pâte à pizza au levain de Biobleud, que j’ai au congélateur tant que je n’ai pas le temps de faire mes pâtes à tarte salée), je saupoudre de graines de sésame complet et hop au four !

.

Bol au poireau

20161218-3

De la fondue de poireau servie sur du riz semi complet avec plein de graines de sésame. Si j’en avais, j’aurais ajouté des dés de tofu fumé amande-sésame (Taifun).

.

Aloo palak

20161218-4

De l’oignon et de l’ail blondis dans de l’huile, du curcuma puis des épinards (ou, ici, du vert de blette) ajouté avec des dés de pomme de terre cuite à la vapeur puis épluchée. Ensuite on ajoute selon l’inspiration des pois chiche (pas ici car il y avait déjà beaucoup de pomme de terre)… ou des graines de sésame !

.

Tajine de légumes racine

20161218-5

Oignons, carottes, pommes de terre, patate douce (on pourrait aussi mettre de la courge ou du potimarron), avec des pois chiche, des amandes et des pruneaux. Servi avec de la semoule et, une entrée ou un dessert contenant de la vitamine C, pour un repas nutritionnellement complet, rassasiant et réconfortant.

.

Salade de radis noir à l’orange

20161218-6

Du radis noirr épluché et râpé, du jus d’orange, de l’huile et du sel. Une idée piochée dans l’Atelier bio et agrémentée par ma mère de dés d’orange (miam !) et de persil (encore plus de vitamine C !). En voyant la photo, je rajouterai bien quelques graines de sésame par-dessus…

.

Pizza du Mistral

20161218-7

On a trouvé notre pizzeria de base ! Les pizzas ne sont pas aussi variées que l’indéclassable Cerise sur la pizza, mais la pizza Végétarienne (à commander sans fromage) me convient : la pâte est bonne, les légumes sont bien cuits (je déteste des pizzas « 4 saisons » au poivron mi cru) et plutôt originaux : oignon, champignon, poivron jaune, poivron vert, olive et câpre.

.

Couscous du Palmier

20161218-12

Le couscous végétarien nous a plu. La semoule est servie avec une compotée d’oignons aux raisins sec (en bas à gauche) et les légumes son très variés et bien cuits : carotte, courgette, chou, fenouil, poivrons verts et rouges, pois chiche. En dessert, une salade d’orange à la cannelle me comble. Le restaurant sert à emporter et comme on demandait tous le même couscous, la patronne a spontanément proposé qu’on apporte un saladier pour mettre la graine, une cocotte pour les légumes, et elle a mis la salade d’orange dans le couvercle de notre saladier. On a donc très peu gonflé la poubelle sur ce coup !

.

Des soupes de nouilles instantanées

20161218-8

La soupe Tanoshi « légumes » vendue au Carrefour city du coin de la rue

20161218-10

La soupe Natur compagnie vendue au magasin bio

.

Les pains fantaisie de chez Hat’s

20161218-13

Une « paillasse aux olives noires » : un pain roulé, moelleux et riche en goût.

20161218-9

Une fougasse à l’huile d’olive comme une brioche : rebondie (cuite dans un moule) et à la texture délicieusement moelleuse… Un régal.

.

Et en sucré, il y a quoi à part des clémentines, des pommes et de la compote pomme-coing de feignasse (des pommes épépinées et coupées en quartiers avec leur peau cuites dans un fond d’eau puis mixées avec de la pâte de coing pour aromatiser et sucrer) ? On a fait des biscuits sablés aux pépites de chocolat ! Réalisés avec le Béluga, en ajoutant des pépites à ma recette de shortbreads et en utilisant des emporte pièce en métal : des classiques et des emporte pièce à pâte fimo (Artemio) pour des mini biscuits super mignons. Un délice avec seulement de la farine, du sucre, du sel et de l’huile de coco – et ici des pépites de chocolat.

20161218-11

Bon dimanche !

Chocolat chaud sans lait

11 Déc

Bonjour !

Pour faire des cadeaux gourmands inspirés des « sucettes de chocolat spécial chocolat chaud », j’étais à la recherche d’une recette de chocolat chaud sans lait – et je ne pouvais donc pas utiliser ma recette fétiche de chocolat chaud, qui se présente sous la forme d’une pâte à tartiner. Au final, je n’ai pas décliné les recettes de cet article en cadeau gourmand, faute de temps : je me suis contentée de m’en régaler pour des goûters express, ce qui est déjà bien ! (et adapté au temps que j’ai à consacrer à la cuisine en ce moment)

En cherchant « chocolat chaud sans lait » sur internet, une recette semble gagner tous les cœurs : le chocolat chaud d’aujourd’hui de Pierre Hermé : 125 g de chocolat noir Araguani à 72 % de cacao, 630 g d’eau, 40 g de sucre semoule, 0,2 g de fleur de sel de Guérande, 25 g de cacao en poudre. Elle est d’ailleurs déclinée sous forme de produit tout prêt dans sa boutique (mais la composition exacte ne figure pas sur le site, donc je me suis abstenue de l’acheter). Bon, revenons à la recette initiale.

  • Première impression : Génial, il n’y a que des ingrédients simples si je remplace le chocolat Araguani par celui que je trouve en biocoop ! Mmm, ça va justement être notre sujet de discussion.
  • Deuxième impression : Les proportions ne sont pas faciles à retenir (630 g d’eau ?!), voyons si c’est plus simple quand on recalcule pour 100 g de chocolat au lieu de 125 g. Par exemple il faut 630 x 100 / 125 = 504 donc on peut dire 500 g d’eau. C’est tout de suite mieux ! Retournons donc au choix du chocolat.

.

Tous les chocolats noirs sont-ils semblables ?

Le chocolat noir est principalement composé de cacao et de sucre. Il peut contenir aussi en quantités infimes un émulsifiant, des arômes et, ô trahison, en quantité même pas infime, du beurre animal (appelé « beurre pâtissier » sur l’étiquette) – pour le rendre moins cassant je suppose. Bref, si vous choisissez du chocolat noir sans ce satané beurre, c’est un mélange de sucre et de cacao.

L’étiquette indique obligatoirement la teneur en cacao, généralement autour de 50 % pour du chocolat de cuisine (chocolat « pâtissier ») et autour de 70 % pour du chocolat de dégustation. On peut donc facilement en déduire la teneur en sucre du chocolat noir : 100 % – 72 % = 28 % pour le chocolat recommandé par Pierre Hermé dans sa recette de « chocolat chaud d’aujourd’hui ».

Est-ce que deux chocolats noirs ayant le même pourcentage de cacao auront le même goût ? Pas forcément ! D’abord parce que le goût des fèves de cacao dépend de leur variété, de leur terroir (comme l’explique Bernard Dauphin) et de la manière dont elles ont été fermentées puis torréfiées (ou non torréfiées dans le cas du chocolat cru). Mais aussi parce que le pourcentage de cacao ne détaille pas la teneur en pâte de cacao (= fèves de cacao broyées) et en beurre de cacao (= graisse extraite de la pâte de cacao). Exemples :

  • Le chocolat blanc contient au moins 20 % de cacao, mais uniquement sous la forme de beurre de cacao, d’où sa couleur pâle et son goût très différent d’un chocolat au lait qui aurait la même teneur en cacao.
  • Le chocolat de couverture contient au moins 35 % de cacao, dont au moins de 31 % de beurre de cacao, d’où sa plus grande onctuosité quand on le fait fondre par rapport à un chocolat noir, même « pâtissier », qui aurait la même teneur en cacao.

Choix du chocolat pour cette recette de chocolat chaud

Après dégustation comparée du chocolat chaud en utilisant soit du chocolat « de dégustation » à 70 % de cacao soit du chocolat « pâtissier » à 52 % de cacao (Nestlé ou Kaoka), nous avons été unanimes pour préférer la version au chocolat pâtissier, plus ronde. Je suppose que c’est surtout lié à sa teneur plus élevée en sucre (100 – 52 = 48 % de sucre dans le chocolat pâtissier, contre 100 – 70 = 30 % de sucre dans le chocolat de dégustation). Mais aussi un peu à cause de sa teneur plus élevée en beurre de cacao.

20161211-1

.

Chocolat chaud sans lait, pour adultes

La version de Pierre Hermé, même avec du chocolat noir relativement sucré, a un goût corsé qui m’évoque une boisson type café. Et de fait, pour le café comme pour le cacao de cette boisson, on est en présence de fèves fermentées puis torréfiées et consommées infusées dans de l’eau. C’est donc une boisson aromatique et agréable à boire, mais n’y cherchez pas l’onctuosité des chocolats chauds au lait. Du coup, on peut tout à fait la servir en fin de repas à des gourmands qui veulent finir sur une boisson chaude qui change.

20161211-2

.

Ingrédients pour 4 tasses
– 100 g de chocolat pâtissier (idéalement, en pépites)
– 30 g de sucre (3 cuillerée à soupe)
– 40 g de cacao en poudre (3 cuillerée à soupe)
– Facultatif : 1 pincée de sel
– Facultatif : 1 pincée de vanille ou de cannelle en poudre
– 500 mL d’eau bouillante

Préparation
– Hacher le chocolat au couteau, s’il n’est pas déjà sous forme de pépites.
– Mélanger tous les ingrédients sauf l’eau. Réaliser le mélange soit dans une chocolatière si vous en avez, soit dans un saladier (ou une casserole) si on utilisera ensuite un mixeur plongeant.
– Verser l’eau bouillante sur le mélange et laisser reposer 2 minutes.
– Émulsionner, avec l’ustensile prévu dans la chocolatière ou avec un mixeur plongeant.
– Servir aussitôt.

Remarques

  • Version pour 1 mug : Mélanger 35 g de chocolat en petits morceaux, 1 cuillerée à soupe de sucre, 1 cuillerée à soupe de cacao, 170 mL d’eau bouillante. Si vous disposez d’un minifouet électrique type « aerolatte« , c’est le moment de l’utiliser !

20161211-3

  • Version pour un grand bol : Mélanger 50 g de chocolat en petits morceaux, 1,5 cuillerée à soupe de sucre, 1,5 cuillerée à soupe de cacao, 250 mL d’eau bouillante (ou de lait bouillant).
  • Version au lait d’oléagineux : Pour moi, 500 mL de lait d’oléagineux = 50 g de purée d’oléagineux (environ 3 cuillerées à soupe) et 450 mL d’eau. Ajouter la purée d’oléagineux (cajou, amande, noisette… selon vos goûts) avec le chocolat haché.
  • Version au lait tout prêt : Remplacer l’eau par du lait végétal. Dans ce cas, je trouve plus simple de se rapprocher du mode opératoire de Pierre Hermé : dans une casserole, mélanger tous les ingrédients sauf le chocolat haché. Porter à ébullition puis couper le feu et verser le chocolat haché. Laisser reposer 2 minutes puis émulsionner directement dans la casserole.

.

Chocolat chaud sans lait, pour enfants

Pour un chocolat chaud doux et onctueux, plus adapté au goût des petits et grands gourmands, je conserve le principe de faire fondre du chocolat chaud dans de l’eau mais j’augmente la teneur en matières grasses. Pour cela, je remplace le cacao en poudre et le sucre, qui ne contiennent quasiment pas de matières grasses, par du chocolat. Évidemment, cette boisson plus riche est plus adaptée à un goûter qu’à une fin de repas copieux…

Pour les becs sucrés, on peut ajouter un peu de sucre ou, encore mieux, une pincée de bicarbonate Edit : Voyez ici mes explications sur cette astuce magique pour adoucir la saveur du cacao.

20161211-4.

Ingrédients pour 4 tasses
– 200 g de chocolat pâtissier (idéalement, en pépites)
– 1 pincée de bicarbonate OU 1 cuillerée à soupe de sucre
– Facultatif : 1 pincée de vanille ou de cannelle en poudre
– 500 mL d’eau bouillante ou de lait végétal

Préparation
– Hacher le chocolat au couteau, s’il n’est pas déjà sous forme de pépites.
– Mélanger tous les ingrédients sauf l’eau. Réaliser le mélange soit dans une chocolatière si vous en avez, soit dans un saladier (ou une casserole) si on utilisera ensuite un mixeur plongeant.
– Verser l’eau bouillante sur le mélange et laisser reposer 2 minutes.
– Émulsionner, avec l’ustensile prévu dans la chocolatière ou avec un mixeur plongeant.
– Servir aussitôt.

Remarques

  • Version au goût lacté, comme un chocolat chaud classique : Comme indiqué dans les remarques de la recette précédente, remplacer l’eau par du lait, en ajoutant de la purée d’oléagineux (3 cuillerées à soupe) ou en utilisant du lait végétal tout prêt.
  • Version pour 1 tasse : Mélanger 50 g de chocolat, 1 cuillerée à café bombée de purée d’amande blanche, 115 mL d’eau bouillante. Si vous disposez d’un minifouet électrique type « aerolatte« , c’est le moment de l’utiliser !
  • Version extra onctueuse : Clotilde de Chocolate & Zucchini propose un chocolat chaud sur le même principe, en extra onctueux car elle utilise de la purée d’oléagineux ET du lait tout prêt ! Et elle dit que le reste de boisson conservée au frigo donne une délicieuse crème dessert…

.

Bon dimanche !

Repas de fin novembre

4 Déc

Bonjour !

Les journées avec le Pinto défilent vite – déjà 7 semaines ! Heureusement que j’avais prévu un certain nombre d’articles quasi prêts à publier, comme celui sur les croquants aux amandes… Les repas sont à l’avenant : le plus facile à préparer possible et photographiés en une seconde, voire pas photographiés du tout, comme nos dernières soupes (dont le classique velouté pois cassé & carottes de Doudou) et le faux camembert Happy white, qui a certes une saveur où la noix de cajou est nettementprésente, mais présente cette si chouette croûte blanche caractéristique du camembert.

.

Assiette sans restes

20161204-1

Arrivée à la maison à l’heure du déjeune, faim mais aucun repas prêt et aucun reste. Solution : du quinoa mis à cuire pour le manger tiède en vinaigrette, de la mâche et des radis en crudités, une conserve d’artichauts à l’huile (un basique essentiel chez nous, utilisé en apéro, en risotto…), et des tartines de tartinade à la truffe (enfin à l’arôme de truffe pfff, je n’ai jamais vu de produit dérivé de truffe (huile, tartinade…) sans ce satané arôme qui couvre tout et que Doudou digère mal ! Qui saurait où ça se trouve ?).

.

Tarte fine tomate/oignon

20161204-2

La variante « hiver » de cette tarte que Doudou a tant aimé : avec des oignons coupés en petits dés et brièvement blondis à la poêle dans de l’huile d’olive, du coulis de tomate ajouté par-dessus et cuit encore quelques minutes, le tout étalé sur la pâte à pizza au levain de Biobleud et saupoudré de thym avat d’être cuit au four.

.

Salade tiède au potimarron

20161204-3

Une recette adaptée de celle de Cléa dans son livre Variations potimarron, avec le contenu de nos placards (de la semoule au lieu du boulgour, pas de jus de citron) et notre flemme (potimarron cuit entier donc non enrobé d’épices, ingrédients jetés en vrac dans l’assiette). C’était bon quand même !

.

Gratin de butternut

20161204-4

J’ai enfin trouvé comme faire un gratin de courge qui me plait ! Je cuit la courge au four (pas à la casserole) pour la déssécher et l’éplucher facilement ensuite, puis je la coupe en cubes et le mélange avec une crème à base de purée d’oléagineux (1/4 purée de noix de cajou, 3/4 d’eau) et assaisonnée de sel, poivre et levure maltée. Et ensuite retour au four pour que les saveurs se mêlent et le plat se réchauffe bien !

.

Gnocchi de courge

20161204-5

Le Béluga prétend qu’il n’aime pas les courges. Qu’à cela ne tienne, on va tester de les planquer dans une recette qu’il aime et qu’on peut préparer ensemble en s’amusant : les gnocchis. Comme d’habitude, ça commence par cuire la courge entière au four, avant de la peler, l’épépiner et la couper en morceaux. Puis j’écrase à la fourchette, je sale et j’ajoute assez de farine pour former une pâte qui ne colle plus. Et on forme les gnocchis. Le Béluga en mange une bonne partie au passage, donc pari gagné pour la courge !

 

20161204-6

Gnocchis (de potimarron) avec sauce tomate de Doudou, une valeur sûre.

20161204-7

Gnocchis (de courge musquée) servis avec du « beurre » (en fait huile de coco et eau) infusé de sauge (en fait verveine…).

.

Chou aux épices, pommes de terre et pois chiche

20161204-8

Selon cette recette. Super bon, mais la digestion du Pinto n’aime pas que j’en consomme une platrée midi et soir..

Entrée à tremper

20161204-9

Bâtonnets de carotte ou de radis noir, trempés dans du houmos puis des graines de sésame.

.

Pâtes au chou fleur

20161204-10

Vous devez en avoir marre de les voir, mais nous on n’en a pas marre de les manger…

.

Gâteau César au chocolat

20161204-11

Cette recette sans pépites, avec glaçage et paillettes de noix de coco colorée en bleu :

20161204-12

 

.

Dessert viennois au chocolat

20161204-13

Tant qu’à faire venir un colis d’Allemagne avec du Happy white, j’ai commandé de la chantilly végétale Schlagfix, bourrée d’ingrédients pas locaux ni bruts, mais vraiment délicieuse.

 

.

Bon dimanche !